L’accueil des universitaires

Le Géoparc mondial UNESCO du Chablais est un lieu privilégié pour étudier les Sciences de la Terre et appréhender la formation des roches et des paysages.

Un territoire reconnu pour sa géologie d’importance internationale

Le territoire est reconnu pour sa géologie d’importance internationale, notamment la géologie Alpine (la klippe allochtone de la zone de chevauchement des Préalpes, le Massif du Chablais) et la géologie glaciaire du Quaternaire. L’hydrogéologie du territoire est exceptionnelle offrant des exemples de tout type d’aquifère de montagne.

Pour les étudiants de licence et de master le Chablais se prête aux sorties de terrain et aux stages. Parmi les thématiques à étudier dans le Chablais il y a :

  • La formation des Alpes et plus particulièrement les nappes de charriages (Préalpin),
  • L’histoire glaciaire des Alpes et les dépôts glaciaires (géologie du Quaternaire),
  • Les roches sédimentaires,
  • La géologie structurale : Contrainte et déformation – plis et failles, schistosités… 
  • La médiation des Sciences de la Terre
  • L’hydrogéologie.

L’équipe du Géoparc, portée par le SIAC, et son réseau de partenaires propose des outils à destination des étudiants, et peut participer à la mise en place de séjours pédagogiques sur les thèmes développés ci-dessus ainsi que des projets de stage et de recherche. Travailler dans un Géoparc mondial UNESCO permet d’avoir une équipe à votre disposition pour vous accompagner, afin de :

  • Faciliter les sorties sur terrain : appui à l’organisation logistique ; aide à l’obtention des autorisations et pour les accès nécessaires ; relais auprès les acteurs locaux.
  • Communiquer les conclusions des projets de recherche : organisation des événements de médiation auprès du public et des scolaires ; parution d’articles dans les revues et magazines populaires ; organisation des sorties sur le terrain à destination du public et des scolaires.
  • Apporter des connaissances du terrain local ; permettre l’accès aux informations ; débloquer des financements modestes contribuant au budget global des campagnes de terrain.
  • Collaborer : les projets scientifiques internationaux nécessitant « un terrain d’expérimentation » ou un partenariat « non universitaire » ex. Horizon 2020 et ERASMUS+.